CHERS AMIS, les Napolitains ont une expression très efficace pour définir la tactique typiquement méditerranéenne de se victimiser après avoir commis des violences: CHIAGNE E FOTTI, en patois "pleure et frappe". Tout membre de la Camorra (la pègre napolitaine) du "capintesta" (le chef) au "guaglione" (le manoeuvre), confronté à ses forfaits, se roulera par terre versant des fleuves de larmes et gémissant "c'est pas moi M'sieu, j'ai rien fait, je n'étais pas là, je l'jure sur la tête de ma mère, vous voulez me ruiner, j'ai de la famille, j'dois nourrir mes gosses, la petite est malade..." Bien sûr , comme vous tournez le dos cédant à la compassion, il recommencera à racketter, à poignarder et à fusiller. Et vous avez de la chance si vous vous en sortez indemne.
LES MUSULMANS de tout poil ont perfectionné cette technique jusqu'à en faire un art, puisque elle est recommandée par la première phase du djihad, celle de la dissimulation (taqiya), quand ils ne sont pas encore en position de force et doivent conquérir le territoire dans le but de le transformer en dar es Islam, terre d'Islam. Ils excellent dans la victimisation. Vous souvenez-vous du massacre de Charlie Hebdo? 5 minutes plus tard, alors que les cadavres étaient encore chauds, ont s'apitoyait déjà sur les pauvres musulmans victimes de l'islamophobie, du racisme, de l'extrême droite, de l'exclusion, de la misère et ainsi de suite. Oubliant que c'étaient bien les musulmans qui avaient criblé de balles Wolinski & C.
IDEM POUR LE BATACLAN. Avant qu'on ne termine de compter les morts et les blessés mitraillés au cri de Allahou akbar par des fervents musulmans formés dans les mosquées sunnites ou salafites, les imams de ces mêmes mosquées pleurnichaient c'est pas juste, c'est pas de notre faute, l'islam n'y est pour rien, nous sommes de victimes, c'est la faute à l'islamophobie, au racisme, à l'exclusion, à la misère, au FN. Et ce qui est terrible, au lieu de les confronter à leurs responsabilités dans l'enseignement d'une "religion" qui produit des assassins à rythme industriel, tout le monde se battait pour les écouter et s'apitoyer: oooooh, les paaaaaauvres! Oui, oui, ce sont eux les vraies victimes! On se fout des morts du Bataclan.
IDEM POUR LA CORSE. Des musulmans attirent les pompiers dans un guet apens avec un feu de poubelle, ils les insultent au cri de "sales Corses de merde, vous n'êtes pas chez vous, vous devez partir" et les massacrent à coups de batte de baseball. Les Corses réagissent en dévastant une salle de sport abusivement transformée en salle de prière et tout de suite la victimisation se déclenche: nous sommes des victimes, c'est la faute à l'islamophobie, c'est la faute au FN et bla-bla-bla...
TOUJOURS LE MEME SCENARIO et vous savez pourquoi? Parce que les musulmans ont un penchant pour la répétition. Il répètent quand ils prient, oscillant comme des métronomes. Quant ils chantent, ils répètent 3 ou 4 fois de suite la même phrase. Ils font toujours les mêmes choses, ils sont largement prévisibles pour ce qui concerne "quoi" et dans une certaine mesure "quand". Si une formule marche, ils peuvent la répliquer à l'infini, donc c'est à nous de prouver qu'elle ne marche pas. Disons "non" à la victimisation des musulmans sans nous laisser embobiner par leur bla-bla, surtout sans les suivre dans leurs propos. On ne les écoute même pas, comme on fait au souk quand le marchand tente de vous vendre à 1000 euros un tapis qui en vaut 10.
Dragor
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