DIS-MOI qui tu canonises et je te dirai qui tu es. L'Albanaise Anjezë Gonxha Bojaxhiu, connue aussi comme Mère Teresa, qu'on canonise aujourd'hui, était assez méchante, fanatique, sadique, voleuse, ignorante, fondamentaliste et raciste pour être une vraie sainte de l'Église catholique, l'Église qui a canonisé un assassin comme Karol Wojtyla, principal inspirateur du génocide rwandais et protecteur des génocidaires, ainsi qu'un autre assassin comme Eugenio Pacelli connu aussi comme Pie XII, collaborateur du génocide juif et protecteur des génocidaires.
MAIS commençons par le "miracle" qui autoriserait la canonisation de l'Albanaise. Après la suppression de "l'avocat du Diable" par Wojtyla (le premier bénéficiaire de cette suppression puisque lui aussi a été canonisé grâce à un miracle bidon), l'Église est finalement libre de canoniser qui bon lui semble, concoctant des "miracles" ad hoc. La Bangladaise Monica Besra affirme qu'un rayon de lumière est sorti d'une photo de Teresa, qu'elle avait en sa possession à son domicile, la guérissant d'une tumeur cancéreuse. Son médecin, le docteur Ranjan Mustafi, a beau déclarer que sa patiente n'a jamais eu de cancer et que son kyste tuberculeux s'est résorbé grâce aux médicaments qu'il lui avait prescrits. L'Église l'envoie balader, car la canonisation de l'Albanaise est une opération commerciale qui peut rapporter des millions, à coté de laquelle la vérité compte moins que zéro.
TERESA n'était pas une amie des pauvres mais de la pauvreté. Cette sadique refusait aux malades les médicaments contre la douleur, disant que la souffrance était un cadeau de Dieu et que les malades devaient souffrir comme Jésus. Elle a passé sa vie à combattre le seul traitement connu contre la misère, l'emancipation des femmes qu'elle considérait des machines à gosses. En revanche elle adorait les riches, surtout ceux qui la couvraient d'argent comme la sanguinaire famille Duvalier d'Haïti dont elle louait le régime.
OÙ SONT DONC ALLÉES toutes ces donations? Les malades de ses hospices vivaient dans une scandaleuse saleté, alors qu'elle se faisait soigner dans des cliniques privées californiennes. La réponse est très simple: la plupart de l'argent est allée dans les caisses du Vatican. C'est ça qui rend la bienfaisance un business particulièrement juteux: tu encaisses 100, dépenses 10, places le reste dans l'immobilier et au lieu de te traiter de voleur tout le monde te dit bravo. Jusqu'à te placer dans l'Olympe des saints.
Dragor
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